L’Assemblée nationale a récemment nommé ses représentants au sein du Conseil économique et social, un organe clé de la République récemment réformé. Comme à l’accoutumée, cet espace institutionnel semblait réservé aux vétérans de la politique. Cependant, un vent de changement a soufflé grâce à l’Union Progressiste le Renouveau, sous l’impulsion des dirigeants, notamment Le Chef de l’Etat Patrice Talon et le président du parti, Me Joseph Djogbénou.
Dans un geste symbolique mais lourd de sens, un jeune cadre a été intégré à cette institution. Christophe AGBODJI, 38 ans, a été désigné pour représenter le département du Mono. Bien que son poste soit au niveau départemental, il incarne une avancée notoire pour la jeunesse béninoise souvent cantonnée à des rôles subalternes. Ce clin d’œil à la nouvelle génération montre que l’Union Progressiste tend la main aux jeunes pour les préparer à jouer un rôle de premier plan dans le développement du pays.
Cette désignation de Christophe AGBODJI n’est pas anodine. En plus de renforcer la dynamique jeune au sein de l’Union Progressiste, elle témoigne d’une volonté d’assurer la relève politique. Le Conseil économique et social, réformé pour être plus dynamique, semble ainsi devenir un terrain où la jeunesse pourra prouver sa capacité à contribuer à la gouvernance nationale.
Il est important de saluer cette initiative, qui pourrait être le prélude à une plus grande inclusion des jeunes dans les hautes sphères de l’État. Dans leur partenariat politique, Patrice Talon et Joseph Djogbénou démontrent, à travers cet acte, leur engagement pour un Bénin où l’expérience des aînés s’allie à la fougue et l’innovation des jeunes pour bâtir un avenir prospère.
Cette ouverture symbolise l’engagement de l’Union Progressiste à continuer d’offrir des opportunités aux jeunes, leur permettant ainsi de sortir des seconds rôles pour assumer des responsabilités plus stratégiques. Cela constitue un pas important dans la promotion de la jeunesse béninoise.
Rafiou Lawal