Le Bénin à l’instar de la communauté internationale célèbre ce mercredi 8 mars l’édition 2023 de la journée internationale des droits de la femme. Si cette année les Nations Unies invitent le monde entier à concentrer les réflexions sur l’égalité des sexes, au Bénin, cette célébration est le canal choisi par Octavianus AKPABLI, pour reconnaitre les efforts du gouvernement au profit de la gent féminine depuis l’avènement du régime de la rupture et du nouveau départ. Pour lui, la promotion de la femme qui jusqu’en 2016 était un vœu pieux, est devenu réalité à l’accession de Patrice TALON à la magistrature suprême.
« Sous Patrice TALON, le célèbre slogan mes chères mamans je vous aime a eu vraiment du contenu » ironise le professeur AKPABLI qui en veut pour preuve les nombreuses réformes et les engagements du gouvernement en vue de la promotion et la protection des femmes au Bénin. A titre illustratif l’on peut évoquer en effet la dynamisation de l’Institut National de la Femme (INF), les nombreuses lois visant la promotion et la protection de la jeune fille et des femmes contre toute sorte d’abus, de harcèlement et bien d’autres dérives auxquelles elles étaient exposées. « Aujourd’hui, nos filles peuvent aller à l’école et à l’université en toute quiétude sans crainte des pratiques de harcèlement de la part des enseignants » se réjouit le professeur qui, plus loin, se souvient de la loi 2021-12 du 20 décembre 2021 qui modifie et complète la loi 2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et reproductive et déclare « cette loi épargne nos mamans et épouses des avortements clandestins qui, selon la dernière enquête démographique et de santé, restent la 3ème cause de mortalité des femmes au Bénin ; il y va de la santé des braves Béninoises et c’est à l’actif du gouvernement TALON ».
Dans le secteur de l’éducation et de la formation professionnelle, le gouvernement promeut également la gent féminine avec des initiatives visant non seulement à soutenir la scolarisation des filles mais aussi à faciliter leur insertion professionnelle. Une batterie de mesures qui fait conclure au professeur AKPABLI que sous TALON « c’est du féminisme jamais égalée depuis 1960 ».
Il ne reste qu’aux femmes à soutenir le chantre de la rupture pour ses actions salvatrices à leur endroit en particulier et au profit du Bénin en général.
R.s