La cabale judiciaire dans l’affaire engagée par le nommé Mohamed Soumah de la société belge Antaser contre l’opérateur économique béninois, Noël Hiverto KPATCHAVI est d’ores et déjà vouée à l’echec . Cette démarche bancale visant à nuire à la réputation acquise au prix de lourds sacrifices par un citoyen vertueux et prêt à servir la communauté est nulle et de nul effet. Et dire pourtant que la justice guineenne avait déjà rendu un verdict de non lieu, pour blanchir le compatriote béninois. Dès cet instant, on devrait parler d’incident clos.
Mais chose curieuse, on assiste à une véritable persécution de la part, de toutes vraisemblances, de Antaser contre un partenaire qui n’aurait commis d’autre crime que de réclamer ses droits, après avoir permis, durant plusieurs années de suite, à l’entreprise de droit belge de gagner beaucoup d’argent dans le cadre d’un marché de Bordereau électronique de suivi des cargaisons ( BESC) en Guinée Conakry.. Une vaine cabale dans le vil dessein de traîner dans la boue l’image angélique d’un digne fils de la République. Ce qui gêne son accusateur qui veut le voir périr. Pour avoir tenté en vain d’instrumentaliser la justice guinéenne qui a tranché sur la base des règles de l’équité et de l’impartialité, Mohamed Soumah tente un dernier exploit. Pendant que le verdict du tribunal de 1ère instance de Kaloum en Guinée sonne comme un camouflet et une cinglante désillusion, la société belge Antaser, à travers Mohamed Soumah saisit la Cour de répressions des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Dès lors, il fallait recourir aux mêmes manœuvres pour tromper la vigilance des juges béninois dont on connaît le professionnalisme. Des documents sans grande légitimité, visant à remettre en cause le mandat que Antaser a donné à Noël kpatchavi pour opérer en ses lieu et place et pour ses compte, sont adjoints au dossier pour jouer à avoir la faveur de la justice beninoise. Mais le Bénin étant un pays de tradition où tout vilain projet visant à faire du mal à un fils du pays, se noie avant même sa réalisation, l’homme d’affaires béninois Noël Kpatchavi est sur le point de triompher à nouveau de l’ennemi. L’issue de ce différend qui l’oppose à la société belge Antaser ne sera pas différente des antecedantes décisions de justice rendues sur l’affaire. Ceci, pour la simple qu’il s’agit d’une démarche visant à tromper la vigilance des magistrats béninois. L’ordonnance de non-lieu dans le dossier relatif à l’affaire ayant opposé l’homme d’affaires guinéen Mohamed Soumah au béninois Noël Kpatchavi pourrait se répéter à la Criet, au regard des preuves d’une légitimité douteuse brandies par la partie civile. Pour remonter à la genèse de l’affaire, soulignons que Noël Kpatchavi agissait en tant que partenaire pour sauver ce qui était encore possible, au moment où le bureau de Mohamed Soumah était déjà inondé par la montée des eaux. C’est donc devant témoins qu’il a mené, avec brio, courage et détermination, cette opération sauvetage, servie aujourd’hui comme un alibi pour le traiter de voleur. Lui qui a pourtant œuvré à la mise en place de ce bureau qui servait d’administration pour la société Antaser. Noël A Hiverto Kpatchavi est ainsi victime d’une ‘accusation fantaisiste voire grotesque. Une imagination pour se débarrasser d’un collaborateur devenu peut-être gênant, parce que perçu comme un adversaire et un ennemi à abattre, pour le simple fait et la volonté manifeste de ne pas régler un différend lié à la gestion de la société ainsi qu’au partage des intérêts. «Ordonnons n’y avoir lieu à suivre contre Monsieur Noël A Hiverto Kpatchanvi du chef de vol avec effraction », peut-on lire dans la décision du juge d’instruction Zaoro Konomou, rendue le 25 octobre 2013. De quoi laisser conclure logiquement à des allégations mensongères visant à influer négativement sur la décision que la Criet pourrait être amenée à rendre .Et pour la sordide cause, c’est pour la mise en circulation d’un mandat d’arrêt international dont la légalité a été battue en brèche par la décision de non lieu sus mentionnée. pour tenter d’embrouiller l’opinion publique. Un document désuet, pour s’essayer à etioler l’honneur d’un digne fils du Benin. Aujourd’hui, Noël A Hiverto Kpatchanvi circule librement et ne fait l. objet d’aucun mandat d’arrêt international. En attendant le verdict de la Criet, les regards sont pour l’heure tournés vers Anvers en Belgique, pour la sentence au civil, le 10 Novembre 2022.Et c’est dans la hantise de la décision qui sera rendue au civil à Anvers, dans quelques jours, que Antaser s’agite, s’excite et se fourvoie littéralement.