Bien qu’il se fasse le Lucifer du siècle, le coronavirus est combattu sur divers plans. Dans le domaine littéraire, des plumes en extase ont une fois encore taloché la pandémie liée à la Covid-19. Il s’agit de la naissance de deux anthologies béninoises qui peignent la gestion actuelle du virus au corona en incitant le peuple à certaines espérances.
(Première et quatrième de couverture de »Rafale de plumes contre la Covid-19 », Éditions ORI).
Aux grands maux, les grands remèdes, disait l’autre ! Une raison pour la littérature de faire des coups de taloche au coronavirus ! C’est ce qu’il convient de retenir avec la publication de deux nouvelles anthologies béninoises. Respectivement coordonnés par les écrivains béninois Florent Eustache Hessou et Adélaïde Bignon Fassinou, Rafale de plumes contre la Covid-19 et Regards croisés sur le Coronavirus sont des recueils de récits. La pensée que les auteurs distillent à travers ces chefs-d’œuvre expose le coronavirus, non pas comme les autres maladies du monde, mais plutôt comme un vampire emportant avec lui, la cendre de la beauté du monde. Entre les lignes, l’on ne peut s’empêcher de découvrir que ces anthologies se voient comme des tribunes d’interrogatoire au sein desquelles s’entretiennent la compassion, les peines et douleurs des narrateurs pour les hommes et des femmes du monde. En clairs, c’est une manière pour les auteurs de permettre aux victimes de confinement dans le monde de s’évader en esprit afin de s’émouvoir. Car pour eux, il serait pénible pour un être de rester cloitrer dans les quatre coins d’un mur pour des questions de mise en quarantaine ou d’isolement. Aussi, faut-il souligner que l’arrimage de quelques genres littéraires (poèmes et slams, chroniques et théâtre) viennent insuffler la subtilité dont a fait montre chacun des coordonateurs. En réalité, la thématique abordée est susceptible de redonner espoir aux lecteurs psychologiquement affectés par la pandémie. On en voudra pour preuve les thèmes comme l’inconscience scientifique, l’origine de la pandémie, la distanciation sociale, les secours humanitaires, les soins médicaux, etc. qui arborent une lueur d’espoir dans le cœur du commun des mortels. Cela va sans dire qu’avec le respect des gestes barrières, la sensibilisation et l’humanisme, le maraudeur du 21e siècle disparaîtra et la vie d’avant Covid-19 reprendra bientôt son cours. Au travers de Rafale de plumes contre la Covid-19 et Regards croisés sur le Coronavirus, le recouvrement d’une vie lumineuse et sereine semble prédit. Par ailleurs, il se peut que ces deux anthologies gagnent l’assentiment des critiques littéraires et demeurent des musées que le monde littéraire n’eût jamais créés. Ainsi, ces deux œuvres littéraires ne sont pas seulement des coups de gueules ou les cris d’un éternel désespoir, c’est aussi l’exhortation à la patience d’autant plus que la fin de sa propagation semble annoncer pour peu.
Guy GBINIBOU ANDÉMI
(Première et quatrième de couverture de »Rafale de plumes contre la Covid-19 », Éditions ORI).
Aux grands maux, les grands remèdes, disait l’autre ! Une raison pour la littérature de faire des coups de taloche au coronavirus ! C’est ce qu’il convient de retenir avec la publication de deux nouvelles anthologies béninoises. Respectivement coordonnés par les écrivains béninois Florent Eustache Hessou et Adélaïde Bignon Fassinou, Rafale de plumes contre la Covid-19 et Regards croisés sur le Coronavirus sont des recueils de récits. La pensée que les auteurs distillent à travers ces chefs-d’œuvre expose le coronavirus, non pas comme les autres maladies du monde, mais plutôt comme un vampire emportant avec lui, la cendre de la beauté du monde. Entre les lignes, l’on ne peut s’empêcher de découvrir que ces anthologies se voient comme des tribunes d’interrogatoire au sein desquelles s’entretiennent la compassion, les peines et douleurs des narrateurs pour les hommes et des femmes du monde. En clairs, c’est une manière pour les auteurs de permettre aux victimes de confinement dans le monde de s’évader en esprit afin de s’émouvoir. Car pour eux, il serait pénible pour un être de rester cloitrer dans les quatre coins d’un mur pour des questions de mise en quarantaine ou d’isolement. Aussi, faut-il souligner que l’arrimage de quelques genres littéraires (poèmes et slams, chroniques et théâtre) viennent insuffler la subtilité dont a fait montre chacun des coordonateurs. En réalité, la thématique abordée est susceptible de redonner espoir aux lecteurs psychologiquement affectés par la pandémie. On en voudra pour preuve les thèmes comme l’inconscience scientifique, l’origine de la pandémie, la distanciation sociale, les secours humanitaires, les soins médicaux, etc. qui arborent une lueur d’espoir dans le cœur du commun des mortels. Cela va sans dire qu’avec le respect des gestes barrières, la sensibilisation et l’humanisme, le maraudeur du 21e siècle disparaîtra et la vie d’avant Covid-19 reprendra bientôt son cours. Au travers de Rafale de plumes contre la Covid-19 et Regards croisés sur le Coronavirus, le recouvrement d’une vie lumineuse et sereine semble prédit. Par ailleurs, il se peut que ces deux anthologies gagnent l’assentiment des critiques littéraires et demeurent des musées que le monde littéraire n’eût jamais créés. Ainsi, ces deux œuvres littéraires ne sont pas seulement des coups de gueules ou les cris d’un éternel désespoir, c’est aussi l’exhortation à la patience d’autant plus que la fin de sa propagation semble annoncer pour peu.