Bénin : Honorine Yètè ou la loyauté politique hors pair

Une preuve palpable de la fidélité féminine en politique se démarque dans la 10ème Circonscription électorale, regroupant les Communes de Glazoué, Ouèssè et Savè. Elle, c’est Honorine Yètè guide de plusieurs coopératives rurales de femmes et assistante de Edmond Agoua, parlementaire et acteur politique chevronné aux côtés de qui, elle a mis ses expériences sociopolitiques au service de l’enracinement de l’Union progressiste, ce parti majoritaire pro gouvernemental, dans les Collines.

Joker permanent de Edmod Agoua, acteur politique de premier au Bénin, Madame Yètè participe, depuis des années à la facilitation de la mise en œuvre de la politique du développement actionnée par le chantre du “Bénin Révélé“, Patrice Talon, le président de la République. Elle a constamment entretenu les siens à la foi au développement et les fruits de cette croyance sont désormais relevés sur le terrain: Glazoué son fief, bénéficie lentement, mais sûrement des infrastructures sociales de base et autres.

 

Sa part politique

Il fallait d’abord et avant tout que les réformes politiques soient acceptées dans leurs formes et leurs fonds respectifs. Pour le compte de son parti Up, Madame Yètè a parcouru toutes les localités de la 10ème afin de sensibiliser les populations sur les fondamentaux incessibles. Lesdites réformes ont finalement été testées avec les législatives de 2019 qui ont permis la mise en place de la huitième législature. C’est encore elle qui a conduit en lieu place de son mentor, le processus de présélection des candidats progressistes de la Commune de Glazoué pour les communales de 2020. Si l’Up a largement participé à la réélection par K.O du président Talon dans les Collines, cette dame de fer a aussi apporté sa part aux côtés des hommes politiques du Centre Bénin.

 

De la loyauté

Il n’est plus à démontrer que Madame Yètè est loyale et s’est adonnée à l’intérêt général, mais il importe que cette posture soit gratifiée quand on sait que sa promotion ouvrirait de nouvelles portes pour sa cohorte de femmes. C’est aussi irrévocable qu’elle soit sur la ligne de départ pour les législatives de 2023, mais elle mérite mieux et ce n’est pas le président Bruno Amoussou de l’Up qui dirait le contraire, ni le chef de l’État, Patrice Talon. Vivement qu’ils agissent en sa faveur et en temps réel pour faire honneur aux femmes de la 10ème mais aussi et  surtout au métronome, Edmond Agoua et à toutes ces autorités politico administratives, témoins de ses efforts méritoires. Au soir d’une carrière administrative au ministère de la microfinance, l’enseignante de base Honorine Yètè a devant elle, une belle carrière politique: il suffit que les décideurs lui donnent l’opportunité. De sa volonté affichée au profit de la promotion de la gente féminine, le président Talon ne perdrait rien en faisant confiance à cette politicienne au parcours irréprochable.

Par Nicole HADAGBA

 

 

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