Un décret présidentiel signé le 6 novembre 2024 par le président Patrice Talon impose des amendes de 200 000 FCFA pour le non-signalement de décès suspects, incluant violences, suicides, accidents ou fautes médicales. Les professionnels de santé et responsables de morgue sont également tenus de respecter des normes strictes concernant les certificats médicaux et le traitement des corps. Ce texte vise à promouvoir la transparence et à prévenir les abus.
Angelo DOWINHAN