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Preuves probantes du mandat délivré à Noël Hiverto KPATCHAVI, pour opérer en  lieu et place de ANTASER: Un procès verbal d’huissier qui rétablit la vérité

(La preuve éloquente de la supercherie de l'entreprise belge. Un acte prémédité pour ne point respecter, après le travail fait et l'argent encaissé, l'accord avec l'opérateur économique béninois Noël kpatchavi)

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Toute la lumière se fait autour de la supposée affaire dite « vol avec effraction ». Des preuves tangibles et irréfutables donnant légitimité à Noël Hiverto KPATCHAVI, pour opérer en lieu et place de ANTASER et qui confortent sa position de victime d’une machination aveugle, menée à dessein, pour le priver de ses droits légitimes. Une cabale judiciaire dont on connaît les dessous et les mobiles. A l’analyse des documents, on se rend à l’évidence que la société belge Antaser représentée Mohamed Soumah cherche des échappatoires et se cache derrière des faux fuyants   pour ne pas honorer ses engagements vis-à-vis de l’opérateur économique béninois, Noël Hiverto KPATCHAVI pour ses prestations en tant que collaborateur  dévoué et assidu. Une roublardise assez suspecte qu’il y a lieu de combattre et de décourager par tous les moyens.  Et pour cause, le contrat de travail,envoyé par correspondance électronique et dûment portant le sceau de ANTASER et dont l’effectivité a été constatée  par un huissier qui en a fait un rapport sur la base d’un procès verbal, montre que Noël Hiverto KPATCHAVI est un associé de la société belge Antaser et donc détient mandat d’opérer en son nom, en toutes  circonstances, dans le cadre des activités du bordereau électronique de suivi des cargaisons ( BESC) en Guinée Conakry. Et c’est bien ce qui s’est passé au moment où le bureau de la société a été inondée et submergée d’eau. Un procès verbal d’huissier qui rétablit la vérité sur les capacités réelles du compatriote béninois, en tant que entité morale et physique, pour agir au nom de l’entreprise en cas de nécessité. Une preuve éloquente de la supercherie de l’entreprise belge à décider injustement du sort d’un fidèle associé, prêt à tous les sacrifices possibles et au péril de sa vie, pour défendre et maintenir le label. On voit désormais là où peut aller la méchanceté des hommes, lorsque des intérêts sont en jeu. , Noël Hiverto KPATCHAVI est une victime expiatoire d’un acte prémédité par ANTASER pour ne point respecter, après le travail fait et l’argent encaissé, l’accord avec l’opérateur économique béninois . Tel est le schéma. Heureusement qu’il y a des décisions de justice qui tranchent en faveur de Noël kpatchavi. La justice guineenne avait déjà rendu un verdict de non lieu, pour blanchir le compatriote béninois, par rapport au mandat d’arrêt international illégal qui est brandi comme un trophée de guerre par les sbirs de l’entreprise belge, pour tenter de se faire bonne conscience . Dès cet instant, on devrait parler d’incident clos. Mais chose curieuse, on assiste à une véritable persécution de la part, de toutes vraisemblances, de Antaser contre un partenaire qui n’aurait commis d’autre crime que de réclamer ses droits, après avoir permis, durant plusieurs années de suite, à l’entreprise de droit belge, de gagner beaucoup d’argent dans le cadre d’un marché de Bordereau électronique de suivi des cargaisons (BESC) en Guinée Conakry. Une vaine cabale dans le vil dessein de traîner dans la boue l’image angélique d’un digne fils de la République. Aussi après avoir essayé sur le terrain d’un mandat d’arrêt international dont la légalité a été remise en cause par le non lieu de  Conakry, c’est à la constation du mandat qui est donné à Noël Hiverto KPATCHAVI pour opérer pour le  compte  de ANTASER.. Quel sera la suite du feuilleton des manigances ? Pour avoir tenté en vain d’instrumentaliser la justice guinéenne qui a tranché sur la base des règles de l’équité et de l’impartialité, Mohamed Soumah poursuit son archanement dans le but de rendre la vie difficile à Noël kpatchavi. Et ce sera peine  perdue , puisque des documents existent et contrastent avec les fausses accusations montées de toutes pièces pour se venger d’un associé qui a rempli sa part de contrat.Des précisions sur la date, l’heure, la minute et la seconde de la correspondance électronique, qui donne l’autorisation à l’opérateur économique beninois de travailler avec le gouvernement de la Guinée Conakry, existent et ont fait l’objet d’un constat d’huissier dont les détails sont publiés en annexe. Et l’on est en droit de demander à ANTASER de venir  remettre en cause à la Criet ses  propres messages provenant de ses propres bureaux. En définitive, au regard des subterfuges dont l’entreprise belge fait montre dans ce dossier, il est aisé de conclure à une machination qui vise à tout faire pour ne point honnorer ses engagements contractuels vis à vis de Noël kpatchavi. Il importe que la justice beninoise et toute l’opinion aient en possession tous les détails de la supercherie de ANTASER, afin que l’alchimie ne soit opérée, tel que c’était le cas, suite à la déclaration de non compétence du tribunal de Cotonou, après la condamnation de ANTASER à payer près de 9milliards de fcfa à l’homme d’affaires beninois Noël kpatchavi, et ceci après avis de non appel.

FMG

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