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Cape Town 2025 : L’Institut de l’Être Trace la Voie d’un Humanisme Global

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Réunis sous la présidence de Martial Kpochan, les membres de l’Institut de l’Être ont tenu leur séminaire de rentrée à Cape Town. A l’occasion, ils ont mis en avant la primauté de l’être sur l’avoir. Entre bilan des avancées, engagement humanitaire et réflexion sur la justice, cet événement participe de la mission globale de l’Institut.

Ce séminaire a été placé sous le signe de l’engagement et de la réflexion. Dans un monde secoué par des crises multiples, l’Institut de l’Être a choisi Cape Town pour tenir son séminaire de rentrée. L’événement n’a pas seulement été l’occasion d’évaluer les actions menées en 2024, mais aussi de poser les bases stratégiques des années à venir. Plus qu’une réunion, ce séminaire a réaffirmé la vocation universelle de l’Institut : replacer l’humain au centre des décisions politiques, économiques et culturelles.

L’ouverture des travaux a permis de revisiter les 10 principes fondateurs de l’Institut, véritables piliers d’une réflexion globale sur l’avenir des sociétés. Le bilan de l’année écoulée a mis en lumière des avancées significatives, notamment l’expansion de l’Institut dans le monde francophone et anglophone. Pour symboliser cette dynamique internationale, un partenaire stratégique de Kigali a été convié, soulignant l’importance des collaborations transfrontalières.

Le principe n°9, qui promeut la paix avec les pays voisins comme fondement de la stabilité, a particulièrement résonné dans un pays qui a su transformer l’héritage douloureux de l’apartheid en un modèle de réconciliation. Fidèle à sa philosophie d’action, l’Institut de l’Être a profité de ce séminaire pour manifester son soutien à la Fondation Sophie Msiza, engagée dans la lutte contre le cancer en Afrique du Sud. Une levée de fonds a été organisée au Golf de Minerton en signe de solidarité et de responsabilité sociale.

Le président du Golf de Minerton a salué la générosité de Martial Kpochan, qu’il a décri comme un “leader d’exception, porteur de valeurs de paix et de solidarité universelle.” Lors de la soirée de gala, la présidente de la Fondation Sophie Msiza a exprimé sa reconnaissance envers l’Institut et son président, soulignant l’impact direct de cet engagement dans la mobilisation des ressources essentielles pour les patients.

Justice et équité : au cœur des débats

Les échanges du séminaire ont également porté sur la justice, notion centrale dans la vision de l’Institut. Martial Kpochan a insisté sur la distinction entre l’institution judiciaire et le sentiment de justice ressenti par les populations. Face à un accès à l’information parfois biaisé, il a plaidé pour une plus grande transparence et un renforcement de la confiance des citoyens envers leurs institutions.

L’usage du pouvoir de grâce a également été abordé. “Parfois, c’est par la grâce que nous sommes sauvés, par le moyen de la foi. Il faut avoir foi en la justice, car elle est le fondement de toute société humaine”, a rappelé le président de l’Institut. Un message qui a trouvé un écho particulier en Afrique du Sud, où la justice a joué un rôle clé dans la réconciliation post-apartheid.

Un appel à la paix et à l’humanité

En clôture du séminaire, Martial Kpochan a livré une profonde réflexion sur la domination et ses effets destructeurs. “La domination est une perversion de l’activité humaine. Elle fait perdre la raison et détruit l’harmonie entre les peuples”, a-t-il déclaré, en rappelant que les grandes fractures de l’histoire sont souvent nées d’un désir de contrôle absolu.

Ce séminaire aura marqué une contribution significative de l’Institut de l’Être au développement. Sous l’impulsion de Martial Kpochan, cet institut s’affirme plus que jamais comme un acteur incontournable du changement global, œuvrant pour un monde où la justice, la paix et l’humanité ne sont pas de simples idéaux, mais des réalités tangibles.

Angelo DOWINHAN

 

 

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