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Invité sur Zone franche à Canal3 Bénin : « Nous ne pouvons rien faire pour aller contre les intérêts du peuple » assure Aké Natondé

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Le président du groupe parlementaire UP le Renouveau, l’honorable Natondé AKÉ était hier dimanche 28 janvier 2024, l’invité de l’émission ZONE FRANCHE de la télévision Canal 3 Bénin. A l’occasion, l’élu de la 24è Circonscription électorale s’est prononcé sur des sujets brûlants de l’actualité notamment, la relecture du code électoral, la révision de la constitution et le 3ème mandat et a donné la position de son groupe parlementaire.

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Relecture du code électoral, révision de la constitution, 3ème mandat, voilà les principaux sujets de discussions entre le président du groupe parlementaire UP Le Renouveau et le député Natondé Aké. Répondant aux questions du journaliste, il est parti du parti du prestigieux bilan du Chef de l’Etat dont il a vanté la gouvernance méthodique avec des résultats dans tous les domaines et secteurs. L’élu de la 24è Circonscription électorale a salué les qualités de bâtisseur du Chef de l’Etat, animé uniquement par le bien-être de tous les béninois. Le succès du chef de l’Etat sur tous les fonts Est tel que, on peut fermer les yeux sur certains défauts. Mais perfectionniste, Patrice Talon n’entend pas se contenter du peu, il ne cesse chaque jour de parfaire tout à tous les niveaux. La perfection n’étant pas de ce monde, l’honorable Aké Natondé a reconnu que le chef de l’Etat ne saurait contenter tous. C’est ainsi qu’on ne manque pas de luis prêtre parfois des intentions, comme c’est le cas du doute que nourrissent certains sur son départ en 2026. Mais le Président Patrice Talon, assure le député, passera le témoin en 2026. La limitation de mandat au Bénin n’est donc pas un fait extraordinaire et la bonne fois du Chef de l’Etat s’est déjà manifestée une fois alors qu’il avait tout le Parlement acquis à sa cause. C’est un problème déjà résolu par la Constitution elle-même, et à l’instar de ces prédécesseurs, Patrice Talon n’excèdera pas la limite des deux mandats. C’est pour quoi, au soir du troisième dimanche du mois de mai 2026 il passera le témoin selon Aké Natondé. Il n’a pas manqué s’insister sur les qualités homme d’Etat du Chef de l’Etat, toujours préoccupé par le consensus. C’est d’ailleurs ce qui a justifié les dernières rencontres avec les différents partis politiques représentés au Parlement. C’est une forme de consultation qui permet au Chef de l’Etat de recueillir l’avais des uns et de sautes sur certains grands sujet d’intérêts public et qui engagent é notre vivre ensemble». Et si ces rencontrent ont tôt fait de monter les enchères et d’accroitre des suspicions sur les besoins de révision du Code électorale et de la constitution, le député a rappelé l’initiative émane de la Cour Constitutionnelle, qui, en réponse à la saisine d’un citoyen, a souhaité crever l’abcès. <<…En réalité la Cour Constitutionnelle a été saisie par un citoyen qui estime que, le code électoral risque de porter confusion à l’occasion du parrainage des élections présidentielles de 2026…, en regardant les dispositions telle que contenues dans le code actuellement, c’est que les dossiers de candidature aux élections présidentielles seront déposés au plus tard le 5 février 2026 mais pendant ce temps, il aurait déjà des renouvellements au niveau des mairies et la loi dispose que, les maires qui seront élus en janvier 2026 seront installés entre le 1er et le 15 février. Alors du 1er au 5 février, certains maires seront déjà connus… les autres qui seront à partir du 6 jusqu’au 15 février, faut-il que, qu’on permet ces deux catégories de maires puissent parrainer au même titre ?… la cour nous demande de rétablir les choses de manière à ce qu’il ait égalité entre ces parrains. C’est à dire que, si nous choisissons que, les actuels maires qui finiront leur mandat en janvier 2026, il faut que ce soit eux tous ou bien si nous choisissons les maires qui seront élus en 2026, il faut que ce soit eux tous et non une partie composée d’anciens maires et une partie composée de nouveaux maires…>> a-t-il clarifié. Quant à l’activisme politique de l’ancien président de la république, Boni Yayi, Aké Natondé dit n’avoir rien contre mais a suggéré que l’ancien Président valorise au mieux son expérience. Après ce parcours, il devrait plutôt devenir une personne ressource que tous pourrait consulter et auprès de qui, l’ont devrait recevoir Conseil. Mieux, sa présence continue dans l’arène politique l’expose au jeu politique avec tout cela implique. Ainsi, le Président du groupe parlement UPR a souhaité voir plutôt le président Boni Yayi s’effacer profit de la jeune génération qu’il pourrait continuer par conseiller sans pour autant se retrouver chaque fois devant la scène. Son parcours et la haute responsabilité exercée font de lui désormais une bibliothèque et il faudra trouver la sagesse de la préserver estime Aké Natondé.

Angelo Dowingnon 

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