Le choix est fait, l’histoire est en marche. Romuald Wadagni ne se contente pas d’être un candidat : il incarne déjà la fonction, avec l’assurance tranquille d’un homme façonné pour les sommets. Technocrate de haut vol, stratège respecté sur la scène internationale, meneur discret mais redoutablement efficace, il cristallise les espoirs d’une nation en quête de continuité, de stabilité et de grandeur. En lui, le Bénin trouve un successeur taillé pour le défi, un président prêt à l’exercice, un leader à la fois neuf et expérimenté. La maturité d’un bâtisseur, la fougue d’une nouvelle génération : Wadagni n’est pas un pari… c’est une évidence.
Romuald Wadagni représente indubitablement le profil idéal pour un Bénin qui veut maintenir sa trajectoire de développement. Il incarne la jeunesse, le renouveau générationnel et l’avenir. Technocrate aguerri, il est l’artisan des grandes réformes économiques qui ont donné un souffle nouveau au pays. Reconnu mondialement pour son savoir-faire, il a reçu plusieurs distinctions et marques de reconnaissance internationale. Avant de rejoindre le gouvernement en 2016, Romuald Wadagni avait déjà bâti une carrière impressionnante au sein de Deloitte, l’un des plus prestigieux cabinets mondiaux d’audit et de conseil. Il y a gravi les échelons jusqu’à devenir Associé dans le département Audit, menant des missions complexes entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique. Il a accompagné de grands groupes internationaux dans leur gouvernance, leur stratégie financière et leur transparence. Ce parcours, nourri d’exigence et de performance, l’a doté d’une vision globale rare.
À la tête du ministère de l’Économie et des Finances, il s’est imposé comme un artisan de la réforme et champion de la transparence budgétaire. Sous sa houlette, le Bénin a remporté le Prix du budget ouvert et consolidé sa réputation de modèle de bonne gouvernance en Afrique. Visionnaire, il a été un pionnier du financement innovant du développement. Premier en Afrique de l’Ouest à faire entrer le pays sur le marché des Eurobonds, il a mobilisé des ressources colossales pour soutenir la transformation structurelle de l’économie.
Un leadership forgé dans l’action et l’humilité
Mais au-delà des chiffres et des réformes, Romuald Wadagni reste profondément humain. Fidèle à une approche sociale discrète mais constante, il s’est engagé auprès des communautés, loin des projecteurs. Écoles, hôpitaux, mosquées, associations de développement, organisations de jeunes, de femmes, d’acteurs culturels et professionnels… tous peuvent témoigner de son engagement concret. Ce sens du social fait de lui une école d’humilité, d’écoute et de service.
Ce leadership enraciné dans l’action s’est aussi forgé sur la scène régionale et internationale. Président du conseil des ministres de l’UEMOA, il a tissé des liens solides avec de nombreux chefs d’État et responsables internationaux. Sa capacité à dialoguer, comprendre les enjeux de la sous-région et proposer des solutions pragmatiques renforce sa stature d’homme d’État accompli.
Aujourd’hui, son profil apparaît comme la garantie de la continuité et de la stabilité. Homme de consensus, il incarne une dynamique fédératrice, capable de rassembler les Béninois du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. Le choix de sa candidature, largement salué, reflète l’aspiration d’un peuple à poursuivre sur la voie du progrès. Après neuf années de loyaux services aux côtés du Président Patrice Talon, Romuald Wadagni a conquis le respect par son patriotisme, sa rigueur, et son attachement profond au développement. Alors que le Bénin se trouve à la croisée des chemins, son nom s’impose comme un rempart contre les travers du passé : instabilité politique, déficit de vision, précarité, mauvaise gouvernance, et pauvreté rampante. Il incarne l’assurance d’un avenir maîtrisé, prospère et inclusif.
Jeunes, femmes, sages, forces vives de la Nation, diaspora : toutes les composantes de la société sont appelées à porter cette dynamique historique. Car qui mieux que lui pour poursuivre l’œuvre engagée et hisser plus haut encore l’étendard du Bénin ? Encore cinq années pour parachever l’ambition, cinq années pour inscrire définitivement le pays dans le cercle restreint des nations prospères.
Honoré DANVOEHOU