Examen au Bénin: Hyppolite AHONDÉMÈ salue la « qualité du Bac béninois » et encourage les candidats
À la veille des épreuves qui débutent ce lundi 16 juin 2025, le leader du Bloc Républicain adresse un message de confiance aux quelque 120 000 candidats et salue l’engagement des enseignants dans la mise en œuvre des réformes éducatives du gouvernement.
Le Bénin retient son souffle. Dès l’aube de ce lundi 16 juin 2025, des milliers de lycéens franchiront les portes des centres de composition pour décrocher le précieux sésame : le baccalauréat, premier diplôme universitaire ouvrant la voie aux études supérieures.
Sur le terrain, c’est avec un regard résolument optimiste que Hyppolite AHONDÉMÈ, figure du Bloc Républicain, observe l’évolution de cet examen emblématique. « Je me suis rendu compte, que le Bénin est dans une dynamique de développement durable depuis quelques années. Dans ce processus l’éducation occupe une place de choix très considérable, le Bénin a vite compris. La qualité du Baccalauréat béninois est une école pour beaucoup d’autres pays de la sous-région. C’est un label tout simplement qui inspire et c’est à l’actif de tous les acteurs du système éducatif », déclare-t-il.
Au-delà de cet hommage, le leader politique adresse « une très bonne composition à tous les candidats sur toute l’étendue du territoire national » et met à l’honneur « l’engagement des enseignants aux côtés du gouvernement pour la concrétisation des différentes réformes dans le secteur éducatif ».
Ces réformes, amorcées depuis 2016, ont notamment revu les programmes, renforcé la formation initiale des professeurs et introduit une numérisation progressive des procédures d’inscription et de correction. Autant d’innovations qui, selon le ministère de l’Enseignement secondaire, expliquent la crédibilité croissante du Bac béninois sur le plan régional.
Pour les candidats, l’enjeu est double : faire leurs preuves dans des conditions d’examen réputées rigoureuses et, dans la foulée, s’ouvrir les portes des universités publiques ou privées. Avant même la première épreuve, nombre d’entre eux disent se sentir « portés » par les encouragements des autorités et de la société civile.
Dans les centres, tout est déjà prêt : dispositifs sanitaires, sécurisation des sujets et encadrement renforcé. Le directeur de l’Office du Bac confirme que les dernières vérifications logistiques ont été bouclées samedi. Reste désormais à chaque élève à mobiliser ses connaissances et son sang-froid.
À la veille de cette échéance, le message d’Hyppolite AHONDÉMÈ résonne comme un rappel : la valeur du baccalauréat béninois, au-delà des chiffres de réussite, se joue aussi dans la confiance accordée à ses futurs lauréats et à ceux qui les accompagnent.
